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La Voz del Artista.



Philippe Guillerme.


Exposition artistique internationale

Le droit à la Beauté

Initiée en Argentine, une exposition virtuelle internationale sur Facebook revendique l'artiste comme passeur d«'énergies subtiles » qui se dégagent des couleurs de la peinture, mais aussi avec d'autres arts. Leurs effets se font ressentir sur le psychisme et dans la vie. Le cadre de cette manifestation a une dimension planétaire, CUORenta : Le Droit à la Beauté et à la lumière pour chaque être humain au sein de son environnement.

L'exposition annuelle Internationale – virtuelle et gratuite - du Musée des Beaux Arts et le l'Art Contemporain Don Armando S.Reschini à Santa Fé en Argentine, se tiendra pour la deuxième fois, du 14 novembre au 13 décembre 2020, sur la page Facebook « Musée Don Armando S.Reschini » traduite en plusieurs langues. L'intention de cette peintre à l'origine du projet, Paula Reschini, est altruiste et thérapeutique. Elle se fonde sur une expérience de terrain et tend vers un rayonnement planétaire.

Il s'agit de donner une plus grande place aux artistes qui luttent pour le renforcement du système immunitaire et contre la tristesse, par les couleurs, les mots, la créativité et les voyages. Egalement, il s'agit pour tous les intervenants, de poursuivre la sensibilisation au « Droit à la Beauté » en tant que Droit Universel à la Durée de vie, pour chaque être humain. L'action de Paula Reschini a trouvé un appui auprès du sénateur Peronniste Roberto Mirabella, qui souhaiterai que l'idée fasse des émules auprès de son Assemblé Nationale.

Il y a les artistes suivants le poète Philippe Guillerme ayant posé ses mots sur la série de Paula Reschini : « Bleue Works Prophecies » du musée des Beaux Arts de Santa Fé ,

Le producter culturel M. ALEJANDRO LIBRACE (Milan), le journal La Voz de Casilda de Marcelo et Javier Cortez, le maître italien de la peinture de Milan CARO, M. Carmelo Paolo Carlo Roccazzella, Directrice Artistique de l'Académie Artistique du Troisième Millénaire, l'Artiste franco-italienne Mme ALESSANDRA VIOTTI, actuellement basée à Nice, Membre de l'Académie des Arts et des Sciences de Paris, l'Artiste ROBERTO SÁNCHEZ TERREROS de Madrid et la renommée Olmeda de Las Fuentes, l'artiste parisien M. ALAIN CABOT dont les oeuvres ont été présentées dans des expositions internationales, l'artiste plasticien italo-argentin M. GABRIEL MONTONERI basé à Milan, le peintre et le professeur MARÍA PAOLA MAZZA de Casenta-Italie, l'artiste brésilien M. Eduardo CAZARI basé en Australie, l'artiste chilienne Mme PATTY DIAZ, le célèbre artiste cubain M. EVELIO FERNANDEZ, l'artiste et le professeur Mme GIULIANA PELLAC ANI de Modène, l'écrivain et producteur culturel M. MAURO RESCHINI de Montegranaro (Italie), l'écrivain et journaliste brésilien MAURO BRANDÃO et dans la section Éducation artistique Mme VERÓNICA MAZZA de Rosario, Argentine et le Expert en méditation et yoga Mme ANA M. RIVERO SUESCUN du Venezuela. Un hommage est également rendu à Mabel V.L. Mengoni pour son œuvre : Hijos y Nietos et Dessins : Jésus pour les enfants.

Participent également le Musée Léon Laborde Boy en Argentine en binôme avec le Centre de Recherche et d'Etudes de la Mémoire de Santa Fé qu présenteront leur projet de culture traditionnelle « Alrededor de la Mesa » ; un panel d'intellectuels autour du dessinateur Roberto Fontanarrosa.

Le projet CUOREntena vise une dimension subtile qui consiste à comprendre notre place dans l'Univers, à lutter contre un ennemi invisible : l'humanité est faite de couleurs, « ce qui n'est pas la même chose que de porter du noir ». La couleur émet des vibrations qui affectent la psychologie, les émotions et la profondeur de l'esprit humain, ainsi que le coeur de la planète, selon ses membres.

En somme, il s'agit de reconnaître l'artiste en tant que travailleur essentiel de la Beauté comme « lumière », en cette époque encore obscure. L'émission de cette « énergie vitale de la Nation Planétaire» s'empare d'outils très sensibles qui favorisent la vie et le bien-être des familles : les couleurs, le rire, les fleurs, les chants et la poésie... Une nouvelle manière de ressentir la vie quotidienne. Renouer avec les dons de chacun, son environnement et son habitat au moyen de l'art : le Droit à l'Etre et à l'Authenticité.




Mauro Brandão.

Miembro de la Academia franco brasilera D. Academie de Artes, Ciencias y Letras de Paris.


A arte redentora

Conheci Paula Reschini, diretora e fundadora do Don Armando S. Reschini Museu de Arte Contemporânea de Sanford, em 2015, em Paris, quando fomos condecorados, por mérito artístico e cultural, como embaixadores da Divine Académie Françaisedes Lettres Arts et Culture, em Paris, se estendendo às exposições no Carrousel do Louvre, das quais participamos. De lá para cá solidificamos a nossa amizade, inclusive produzindo artigos “a quatro mãos” para jornais e periódicos, sempre enaltecendo o espírito da arte, que como o ar, é imprescindível e inalienável ao espírito humano. A arte que brota da alma, da luz interior, da luz do espírito, que vem por diversas formas de fazer arte, como nas tintas da alma de Paula e as palavras da minha alma. Não é por acaso que novamente nos reuniremos para a II Exposição Anual de Belas Artes Internacional no Museu de Arte Contemporânea Don Armando S. Reschini, em Sanford, Santa Fé, República Argentina, evento a ser realizado pelo Facebook, a CUOREntena 2020, pela página “Museo Don Armando R. Reschini”, de 14 de novembro a 13 de dezembro, um evento de grande magnitude mundial, onde representantes da arte de vários países se farão presentes através de suas obras e instituições, visionários de renome e de relevância no cenário artístico mundial. O evento será traduzido para várias línguas, e fará florescer a influência planetária pelas cores, como nos influencia e nos molda, a energia das cores, as diversas formas de energia das cores, energias que se transformam em poesias, e que transformam a energia vital da Nação Planetária, a Terra-Mãe, maior do que as nações que habitam neste planeta, e que ao mesmo tempo constroem esta Nação Planetária. Uma profusão de artes se misturará com as cores de Paula Reschini, as artes do ser humano na Terra, para afagar a Terra, como cantam Milton Nascimento e Chico Buarque, dois artistas brasileiros que multiplicam cores pela música e pela palavra, a fazer do cio da Terra propícia estação de fecundar o chão.

(Para a segunda parte)

Será nessa grandiosidade artística, intelectual, culturale planetária que se dará a CUOREntena 2020, com a participação do Museu Regional León Laborde Boy - Associação do Museu Hughes, Centro de Pesquisas e Estudos da Memória da Faculdade de Letras e Artes da Universidade Nacional de Rosário através da tradicional proposta Ao Redor da Mesa, coordenada pelo Sr. Ricardo Medina,no qual o Sr. Alejandro Librace Mediador Intercultural se comprometeu com a Promoção e Divulgação da Cultura Argentina e Hispano-Americana na Itália, que concluiu um Mestrado em Ciência Política na Universitádegli Studi em Milano e uma Especialização em Cultura Hispano-Americana na Universidade de Salamanca, apresentará a Instalação A Última Ceia e A Mesa dos Galantes do Bar El Cairo no Museu Don Armando, celebrando o Espírito de Arte e Amizade.

Exporão também, o Mestre Italiano de Pintura de Milão Carmelo Paolo Carlo Roccazzella, Diretor Artístico da Academia Artística do Terceiro Milênio, a Artista Franco-Italiana Sra. Alessandra Viotti, atualmente radicada em Nice, Membro da Academia de Artes e Ciências de Paris, o Artista Roberto Sánchez Terreros de Madri e a renomada Vila de Artistas Olmeda de las Fuentes, o Artista de Paris Alain Cabot cujas obras foram apresentadas em Exposições Internacionais, o Artista Visual ítalo-argentino Sr. Gabriel Montoneri radicado em Milão, o A pintora e professora María Paola Mazza de Casenta-Itália, o artista brasileiro Sr. Eduardo Cazari radicado na Austrália, a artista chilena Sra. Patty Díaz, o renomado artista cubano Sr. EvelioFernández, o jornal histórico La Voz de Casilda de Javier y Marcelo Cortez, a Artista Sra. GiulianaPellacani de Modena. O escritor e produtor cultural Mauro Reschini de Montegranaro (Itália), o escritor e jornalista brasileiro Mauro Brandão. Os expositores de destaque apresentaram seus trabalhos em vários países e alcançaram reconhecimento internacional, conferindo à Mostra um alto valor e nível.



ALAIN CABOT.

París.


Je suis un artiste vivant à Paris. Dans mes oeuvres, l’acte de peindre prend forme par une

traversée du chaos. Chacune de mes créations est le résultat d’un acte de résistance, étant à la

fois la réponse à un besoin impérieux inconscient et une action volontaire et réfléchie. Ma

confrontation avec la toile brute se fait en passant par la nécessité d’épurer, d’éliminer tout ce

qui est immédiat et facile. Ainsi, je me confronte au réel, mais je ne représente pas le réel ; car

ce que je m’efforce d’exprimer est justement ma lutte contre la laideur du monde, pour

résister ou, tout simplement, exister. Les oeuvres que je présente pour CUOREntena 2020

appartiennent à des séries différentes que j’ai réalisées ces dernières années. Certaines de ces

oeuvres fixent la mémoire des émotions qui demeure inscrite dans les objets, dans les lieux et

dans les corps. D’autres oeuvres représentent des scènes de vie urbaine, dans les quelles

prennent forme des figures qui semblent sortir de l’ombre, traverser le mur de l’inexistant

pour s’y replonger aussitôt. Empreintes – Mémoire. Derrière l’image, la série née dans la

période du confinement et de l’après-confinement, est consacrée aux traces de vie,

empruntées à la nature ou à la ville. C’est une tentative apaisée de retrouver l’essence, les

origines, les fondements de la vie, mais également de proposer d’autres visions d’un univers

sans cesse en mouvement.

Alain CABOT






La vergüenza de haber sido y el dolor de ya no ser.


De un mundo inhumano, amable y cristalino, surgió la palabra, con ella; el amor la locura y la muerte.

Cada niño que nace trae consigo un rugido remotísimo y, su corazón, será un territorio de disputa, entre rugido y palabra. La garra querrá ser mano y la mano querrá ser garra. El trueno querrá ser dios y el dios querrá ser trueno.

Nos exiliamos de la naturaleza donde la sed y el agua eran una amable continuidad, y nos situamos entre predicas incomprensibles que desprecian la íntima esencia de las cosas. Cada mañana nos encaramamos en la ardua tarea de tener que entender el mundo. Encajar en sus disparates y destratos. El destrato de cada palabra que por trocar la realidad, se constituye en un delirio y vertebra un mundo inverosímil.

En el norte de la brújula habita un dios, que con una adormilada indiferencia hacia los asuntos humanos, se desentiende de lo que pasa y lo que ocurre.

Es cierto que la mente humana concibió la”Teoría de la relatividad” y “Adiós Nonino”, pero también es cierto que cada paso que damos esta atiborrado de estupidez, violencia y tedio. La dulzura y una espantosa bestialidad urden su trama empujando nuestra voluntad a un rincón apartado y pequeño.

Mucho tiempo atrás, algunos simios comenzaron a descender de los árboles y empezaron a andar erguidos por la sábana. Hoy; parlantes, crueles y amorosos, nos denominamos Sapiens. Ocurre que esa palabra ya no contiene ni alumbra aquello en lo que nos hemos convertido.

De la piedra con filo que partía la carne del mamut, al hacha, el auto y el teléfono. De estos, al algoritmo informático, oráculo moderno. Humanos de diseño. Híbridados con robots. ¿Estamos encomendando nuestra desventura existencial a nuevas deidades? ¿La condición humana está en juego?

En los últimos meses de 1944 la derrota de Japón era inexorable. En octubre de ese año, el teniente Hiro Onoda, del ejército imperial japonés, fue enviado a la isla de Lubang, en las Filipinas. Sus órdenes eran precisas; resistir a EE.UU, todo y cuanto podía. En 1945 EEUU conquista la isla. Onoda y algunos de sus hombres logran huir a la selva. Desde ahí, organiza una resistencia tenaz contra el ejército de Estados Unidos y la población local. Pasado unos meses, EEUU arroja las bombas atómicas y Japón se rinde. Como muchos soldados dispersos, el teniente Onoda y sus hombres desconocían la conclusión de la guerra. Él, continuaba con su acción de guerrilla. Atendiendo el asunto, los respectivos gobiernos deciden persuadir a los combatientes y dejan caer, desde aviones, folletos por toda la jungla, informando el cese de la guerra. Onoda descree y considera que es una celada del enemigo. Durante los años siguientes, uno a uno, sus soldados son abatidos y queda solo.

Conforme pasaron los años la historia se popularizó en Japón. Y un aventurero decidió ir en su búsqueda. En 1972 Norio Zuzuki se entregó a la incierta tarea de regresar un fantasma al mundo de los vivos. Después de cuatro días de vagar por la jungla de la isla, gritando el nombre del teniente y que el emperador estaba preocupado por él, encontró a un viejo cansado que ya no quería pelear ni vivir solo.

El otro humano, su manogarra, su vozrugido, pueden ofrecer una rendija a nuestra ilusión y esa es una bella operación. En la posibilidad de rectificar o perseverar, nace una modesta libertad, que solo puede crecer en la convocatoria de otro humano. ¿Extinguirán ese fuego las nuevas deidades?

¿Será este nuevo tiempo el exilio del amor, la locura y la muerte?


Juan Cruz Pistilli.

Psicoanalista, Escritor.

Nacido en Serodino, Santa Fé. República Argentina.


La honte d'avoir été et la douleur de ne plus être.

D'un monde inhumain, gentil et cristallin, la parole a émergé, avec elle; aime la folie et la mort.

Chaque enfant qui naîtra emporte avec lui un rugissement très lointain et, son cœur, sera un territoire de dispute, entre rugissement et parole. La griffe voudra être une main et la main voudra être une griffe. Le tonnerre voudra être Dieu et Dieu voudra être le tonnerre.

Nous nous sommes exilés de la nature où la soif et l'eau étaient une bonne continuité, et nous nous sommes placés

entre une prédication incompréhensible qui méprise l'essence intime des choses. Chaque matin, nous nous engageons dans la tâche ardue d'avoir à comprendre le monde. Adaptez-vous à leurs absurdités et portraits. La description de chaque mot qui en changeant la réalité, devient une illusion et les vertébrés un monde improbable.

Au nord de la boussole vit un dieu qui, avec une indifférence endormie aux affaires humaines, ignore ce qui se passe et ce qui se passe.

Il est vrai que l'esprit humain a conçu la "Théorie de la Relativité" et "Au revoir Nonino", mais il est également vrai que chaque pas que nous faisons est rempli de stupidité, de violence et d'ennui. Douceur et une bestialité hideuse tissent son intrigue, poussant notre volonté dans un petit coin reculé.

Il y a longtemps, des singes ont commencé à descendre des arbres et à marcher debout dans la savane. Aujourd'hui; Parlant, cruels et aimants, nous nous appelons Sapiens. Il arrive que ce mot ne contienne plus ou n'illumine plus ce que nous sommes devenus.

De la pierre tranchante qui fendait la viande du mammouth, à la hache, la voiture et le téléphone. Parmi ceux-ci, à l'algorithme informatique, oracle moderne. Concevez des humains. Hybridé avec des robots. Confions-nous notre mésaventure existentielle à de nouvelles divinités? La condition humaine est-elle en jeu?

Dans les derniers mois de 1944, la défaite du Japon était inexorable. En octobre de la même année, le lieutenant Hiro Onoda de l'armée impériale japonaise est envoyé sur l'île de Lubang aux Philippines. Ses ordres étaient précis; résister aux États-Unis, tout et ce qu'il pourrait. En 1945, les États-Unis ont conquis l'île. Onoda et certains de ses hommes parviennent à s'enfuir dans la jungle. De là, il organise une résistance tenace contre l'armée américaine et la population locale. Après quelques mois, les États-Unis lâchent les bombes atomiques et le Japon se rend. Comme beaucoup de soldats dispersés, le lieutenant Onoda et ses hommes ignoraient la fin de la guerre. Il a poursuivi son action de guérilla. Prenant soin de l'affaire, les gouvernements respectifs décident de persuader les combattants et de larguer des tracts depuis les avions à travers la jungle, les informant de la fin de la guerre. Onoda ne croit pas et le considère comme un piège de l'ennemi. Au cours des années suivantes, un par un, ses soldats sont tués et il est laissé seul.

Au fil des années, l'histoire est devenue populaire au Japon. Et un aventurier a décidé de partir à sa recherche. En 1972, Norio Zuzuki entreprit la tâche incertaine de rendre un fantôme au monde des vivants. Après quatre jours d'errance dans la jungle de l'île, criant le nom du lieutenant et que l'empereur s'inquiétait pour lui, il trouva un vieil homme fatigué qui ne voulait plus se battre ni vivre seul.

L'autre humain, sa main, sa voix rugissante, peuvent offrir une fissure à notre illusion et c'est une belle opération. Dans la possibilité de rectifier ou de persévérer, une liberté modeste naît, qui ne peut croître qu'à l'invocation d'un autre humain. Les nouvelles divinités éteindront-elles ce feu?

Ce temps nouveau sera-t-il l'exil de l'amour, de la folie et de la mort?



Juan Cruz Pistilli.

Psychanalyste. Écrivain.

 

 



La vergogna di essere stato e il dolore di non essere più.

Da un mondo inumano, gentile e cristallino, la parola è emersa, con essa; ama la follia e la morte. Ogni bambino che nasce porta con sé un ruggito molto remoto e, il suo cuore, sarà un territorio di contesa, tra ruggito e parola. L'artiglio vorrà essere una mano e la mano vorrà essere un artiglio. Il tuono vorrà essere dio e Dio vorrà essere il tuono. Ci siamo esiliati dalla natura dove la sete e l'acqua erano un'amichevole continuità, e ci siamo posti tra prediche incomprensibili che disprezzavano l'intima essenza delle cose. Ogni mattina ci mettiamo nell'arduo compito di dover capire il mondo. Si adattano alle loro sciocchezze e ai loro ritratti. La descrizione di ogni parola che, cambiando la realtà, diventa un'illusione e vertebrati un mondo improbabile.

Nel nord della bussola vive un dio, che con una sonnolenta indifferenza per le vicende umane, ignora ciò che sta accadendo e ciò che sta accadendo. È vero che la mente umana ha concepito la "Teoria della Relatività" e "Arrivederci Nonino", ma è anche vero che ogni passo che facciamo è zeppo di stupidità, violenza e noia. Dolcezza e una spaventosa bestialità intrecciano la sua trama, spingendo la nostra volontà in un angolo remoto e piccolo. Molto tempo fa, alcune scimmie iniziarono a discendere dagli alberi e iniziarono a camminare erette sul lenzuolo. Oggi; Parlando, crudeli e amorevoli, ci chiamiamo Sapiens. Succede che quella parola non contiene più né illumina ciò che siamo diventati. Dalla pietra affilata che ha spaccato la carne del mammut, all'ascia, all'auto e al telefono. Di questi, all'algoritmo del computer, l'oracolo moderno. Progettare esseri umani. Ibrido con i robot. Affidiamo la nostra disavventura esistenziale a nuove divinità? È in gioco la condizione umana?

Negli ultimi mesi del 1944 la sconfitta del Giappone fu inesorabile. Nell'ottobre di quell'anno, il tenente Hiro Onoda dell'esercito imperiale giapponese fu inviato nell'isola di Lubang nelle Filippine. I suoi ordini erano precisi; resistere agli Stati Uniti, a tutto e ciò che potrebbero. Nel 1945 gli Stati Uniti conquistarono l'isola. Onoda e alcuni dei suoi uomini riescono a fuggire nella giungla. Da lì organizza una tenace resistenza contro l'esercito degli Stati Uniti e la popolazione locale. Dopo pochi mesi, gli Stati Uniti sganciano le bombe atomiche e il Giappone si arrende. Come molti soldati dispersi, il tenente Onoda ei suoi uomini non erano a conoscenza della fine della guerra. Ha continuato con la sua azione di guerriglia. Prendendosi cura della questione, i rispettivi governi decidono di persuadere i combattenti e lanciare volantini dagli aerei in tutta la giungla, informandoli della fine della guerra. Onoda non crede e la considera una trappola del nemico. Negli anni successivi, uno ad uno, i suoi soldati vengono uccisi e lui rimane solo. Con il passare degli anni, la storia è diventata popolare in Giappone. E un avventuriero ha deciso di andarlo a cercare. Nel 1972 Norio Zuzuki ha intrapreso l'incerto compito di restituire un fantasma al mondo dei vivi. Dopo quattro giorni di vagabondaggio per la giungla dell'isola, chiamando il nome del tenente e che l'imperatore era preoccupato per lui, trovò un vecchio stanco che non voleva più combattere o vivere da solo. L'altro umano, la sua mano, la sua voce ruggente, può offrire uno spiraglio alla nostra illusione e questa è un'operazione bellissima. Nella possibilità di rettificare o perseverare nasce una libertà modesta, che può crescere solo su invito di un altro umano. Le nuove divinità spegneranno quel fuoco? Questo nuovo tempo sarà l'esilio dell'amore, della follia e della morte? Juan Cruz Pistilli. Psicoanalista, scrittore. Nato a Serodino, Santa Fé. Repubblica Argentina. juancruzpistilli@hotmail.com




La beauté est la révolution? L'art est-il une transformation planétaire? La beauté est la perception sensorielle, relative et individuelle; le concept du beau varie d'une personne à l'autre selon l'idiosyncrasie, l'éducation esthétique et le tempérament de chacun. Le concept de beauté, appliqué à l'art, c'est-à-dire à l'objet artistique, constitue un processus révolutionnaire réciproque où l'art transforme la beauté; et cela reçoit à son tour l'impact direct du concept artistique manipulé dans l'œuvre. L'art libère, transpose un monde souterrain irréel mais réel dans l'esprit de l'artiste: aller et retour à la névrose. Avec l'art, il est approuvé, désapprouvé, critiqué et loué, enseigné et appris. L'art pour l'art ne serait que de l'artisanat bon marché, il y a une raison à la conceptualisation de l'art. Un travail non fondé sur le plan conceptuel pourrait être un bel objet, le beau pour le beau, mais jamais une véritable œuvre d'art, le beau et révolutionnaire. L'art répond au contexte social dans lequel il se développe. De son rôle éducatif, il transforme les sentiments et les pensées de différents secteurs sociaux, mais il a également démontré sa capacité infinie à transformer esthétiquement le monde à partir d'un design révolutionnaire et innovant en évolution et développement perpétuels. Catégoriquement oui, la beauté est une révolution et l'art est une transformation planétaire. Evelio Barbaro Fernandez Lopez. Artiste visuel. Cuba.



La bellezza è rivoluzione? L'arte è una trasformazione planetaria? La bellezza è percezione sensoriale, relativa e individuale; il concetto di bello varia da persona a persona a seconda dell'idiosincrasia, dell'educazione estetica e del temperamento di ciascuno. Il concetto di bellezza, applicato all'arte, cioè all'oggetto artistico, costituisce un processo rivoluzionario reciproco dove l'arte trasforma la bellezza; e questo a sua volta riceve l'impatto diretto del concetto artistico manipolato nell'opera. L'arte libera, traspone nella mente dell'artista un mondo sotterraneo irreale ma reale: andare e tornare alla nevrosi. Con l'arte viene approvato, disapprovato, criticato e lodato, insegnato e appreso. L'arte per l'arte sarebbe un semplice artigianato a buon mercato, c'è una ragione per la concettualizzazione dell'arte. Un'opera priva di fondamento concettualmente potrebbe essere un bell'oggetto, il bello per il bello, ma mai una vera opera d'arte, il bello e rivoluzionario. L'arte risponde al contesto sociale in cui si sviluppa. Dal suo ruolo educativo, trasforma sentimenti e pensieri di diversi settori sociali, ma ha anche dimostrato la sua infinita capacità di trasformare esteticamente il mondo a partire da un design rivoluzionario e innovativo in perenne evoluzione e sviluppo. Categoricamente sì, la bellezza è rivoluzione e l'arte è trasformazione planetaria. Evelio Barbaro Fernandez Lopez. Artista visuale. Cuba.



Beleza é revolução? Arte é transformação planetária? Beleza é percepção sensorial, relativa e individual; o conceito de belo varia de pessoa para pessoa de acordo com a idiossincrasia, a formação estética e o temperamento de cada um. O conceito de beleza, aplicado à arte, ou seja, ao objeto artístico, constitui um processo revolucionário recíproco onde a arte transforma a beleza; e este, por sua vez, recebe o impacto direto do conceito artístico manipulado na obra. A arte liberta, transpõe um submundo irreal, mas real na mente do artista: ir e voltar à neurose. Com a arte, é aprovado, reprovado, criticado e elogiado, ensinado e aprendido. Arte pela arte seria apenas artesanato barato, há uma razão para conceituar arte. Uma obra sem fundamento conceitual poderia ser um objeto belo, o belo pelo belo, mas nunca uma verdadeira obra de arte, o belo e revolucionário. A arte responde ao contexto social em que se desenvolve. Desde o seu papel educativo, transforma os sentimentos e pensamentos de diferentes setores sociais, mas também tem demonstrado a sua infinita capacidade de transformar esteticamente o mundo a partir de um design revolucionário e inovador em perene evolução e desenvolvimento. Categoricamente, sim, beleza é revolução e arte é transformação planetária. Evelio Barbaro Fernández Lopez. Artista visual. Cuba.

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Notables Expositores

Maestros, Pintores, Escritores, Filósofos, Poetas, Gestores e Instituciones-CUOREntena 2020.

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